Une étude évaluée par des pairs, publiée ce 17 février 2025, révèle des résultats alarmants sur le vaccin à ARNm de Moderna (mRNA-1273). Pour la première fois, des preuves in vivo démontrent que le vaccin traverse le placenta en seulement une heure, s’accumule dans les organes fœtaux, produit des protéines Spike et persiste dans les tissus du fœtus après la naissance.
Les résultats clés de l’étude
Menée sur des modèles animaux, la recherche a détecté la présence de l’ARNm du vaccin dans le sang fœtal dès 60 minutes après l’injection maternelle. Les scientifiques ont observé une concentration accrue dans le foie, les reins et le cœur du fœtus, où les molécules d’ARNm ont continué à générer des protéines Spike pendant plusieurs jours. Plus inquiétant encore : des traces ont été identifiées chez les nouveau-nés, soulignant une persistance inattendue.
Une preuve inédite aux implications majeures
Jusqu’ici, les agences sanitaires, affirmaient que les vaccins anti-COVID ne passaient pas la barrière placentaire. Cette étude balaie ces certitudes, offrant la première démonstration in vivo d’un impact direct sur le fœtus. « Ces injections ne restent pas localisées au site d’injection. Leur dispersion vers le fœtus pose un risque potentiel que personne ne peut ignorer », alerte un chercheur ayant participé à l’étude.
Remise en cause des recommandations sanitaires
Face à ces découvertes, des appels urgents demandent aux agences sanitaires de retirer leur affirmation selon laquelle ces vaccins sont « sûrs » pendant la grossesse.
« Recommander ces produits sans données solides sur leur sécurité fœtale est irresponsable », dénonce le Dr Marie Lefèvre, spécialiste en médecine fœtale. L’absence d’études longitudinales sur les effets à long terme — anomalies développementales ou maladies auto-immunes — renforce ces inquiétudes.
Un besoin criant de transparence
L’étude relance le débat sur l’éthique des campagnes de vaccination encouragées sans comprendre pleinement les conséquences prénatales. « On a joué aux apprentis sorciers avec une génération entière d’enfants », s’indigne un collectif de médecins. Les auteurs de l’étude plaident pour un moratoire sur les vaccins à ARNm chez les femmes enceintes, le temps de mener des évaluations approfondies.
Conclusion : Une urgence de santé publique
Cette étude marque un tournant. Alors que des millions de femmes enceintes ont reçu ces vaccins depuis 2021, les conséquences pourraient mettre des années à émerger. Les agences sanitaires doivent agir avec prudence : retirer les recommandations actuelles et prioriser la sécurité des plus vulnérables. La santé des générations futures ne peut être un pari.
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