Une étude évaluée par des pairs et publiée le vendredi 11 octobre 2024 fait état de 55 éléments chimiques non déclarés qui ont été détectés dans la technologie ARNm Covid des marques Pfizer, Moderna, AstraZeneca, CanSino, Sinopharm et Sputnik V.
L’étude indique dans la section ”abstract » :
Au total, 55 éléments chimiques non déclarés ont été découverts et quantifiés par ICP-MS. En combinant ces résultats avec ceux obtenus par SEM-EDX, 62 éléments chimiques non déclarés ont été trouvés dans les différents produits.
L’étude indique dans la section ”discussion » :
Étant donné la diversité et la présence notable dans toutes les marques, ainsi que les caractéristiques particulières des éléments trouvés, il est extrêmement improbable, à notre avis, que les résultats rapportés dans cet article soient dus à des événements fortuits tels que la contamination ou l’adultération accidentelle. Nous ne pensons pas que des accidents dus au hasard puissent se produire de manière aussi constante et généralisée dans les différentes marques de vaccins que nous avons étudiées. Alors que l’apparition d’une diversité impressionnante d’éléments chimiques non déclarés reste étrange, les indices semblent indiquer une sorte d’expérimentation technologique à l’échelle mondiale.
Étant donné que les lanthanides, comme nous l’avons noté plus haut, sont connus pour être extrêmement cytotoxiques, le fait qu’ils aient été découverts en grande quantité, et dans toute la gamme de vaccins que nous avons étudiée ici, suggère une certaine forme d’expérimentation nanotechnologique.
L’analyse de détection a été effectuée au moyen de la technologie ICP-MS, qui utilise une source d’ionisation pour « décomposer » entièrement un échantillon en ses éléments constitutifs, transformant ces derniers en ions. Ces éléments constitutifs peuvent ensuite être identifiés.
La plupart des éléments spécifiques découverts étaient alarmants, car ils sont connus pour leurs effets néfastes sur l’organisme.
L’étude indique dans la section ”abstract » :
Parmi les éléments non déclarés figuraient les 11 métaux lourds : le chrome a été trouvé dans 100 % des échantillons, l’arsenic dans 82 %, le nickel dans 59 %, le cobalt et le cuivre dans 47 %, l’étain dans 35 %, le cadmium, le plomb et le manganèse dans 18 %, et le mercure dans 6 %.
Dans toutes les marques, nous avons trouvé du bore, du calcium, du titane, de l’aluminium, de l’arsenic, du nickel, du chrome, du cuivre, du gallium, du strontium, du niobium, du molybdène, du baryum et du hafnium.
Les chercheurs ont commencé par résumer le programme de vaccination Covid et ses conséquences malheureuses.
Les vaccins expérimentaux censés combattre le COVID-19 ont été imposés de force à la population mondiale à partir de la fin de l’année 2020. Ils ont provoqué des maladies innombrables et variées, allant de légères à mortelles. Cette augmentation des troubles de la santé et des décès soudains a commencé à se manifester en même temps que le nombre de personnes inoculées et les doses administrées par personne.
L’étude indique dans la section ”discussion » :
Notre analyse, résumée dans les tableaux 9 et 10, montre la présence de 55 éléments chimiques non déclarés dans les 17 échantillons analysés des 6 marques de vaccins COVID-19. Parmi les éléments non déclarés représentent tous les groupes du tableau périodique, à l’exception des gaz rares.
Il est intéressant de noter que les injections ARNm Covid d’AstraZeneca contenaient de petites quantités de métaux précieux tels que l’or et le platine, tandis que ceux de Pfizer contenaient un métal radioactif, l’uranium, toujours aussi intéressant et préoccupant.
Les injections de Moderna contenaient à la fois de l’or et de l’uranium, mais aussi de l’argent.
